samedi 25 avril 2015

PAUL COX - 1988 > 2002




    








 Un livre sans début ni fin qui n'a pas de couverture et qui peut donc se lire à l'infini.

NORM - TRAVAIL EDITORIAL - 2000 > 2004





PHILIPPE MILLOT - COLLECTION "CENTS PAGES" - 1998 > 2004





WIM CROUWEL - COM DE MUSÉES - 1960 > 1976



Créateur du New alphabet 

VIER5 - CENTRE D'ART COMTEMPORAIN DE BRÉTIGNY-SUR-ORGE - 2002 > 2005

Le directeur du centre considère sa collaboration avec Vier5 comme faisant partie intégrante de l'offre artistique du centre. La communication du centre devient une œuvre.

"L'affiche "Involution" était envoyée par l aposte, pliée en huit, et collée de telle sorte qu'on ne puisse l'ouvrir sans arracher le papier ; la déchirure (écho subtil au thème de l'exposition), aux contours chaque fois différents, transformait le multiple en pièce unique."
Dans Pour une critique du design graphique, Catherine de Smet

JIM FLORA, RAID MILES, ALEX STEINWEISS - POCHETTES DE DISQUES (JAZZ) - 1940 > 1965



Dominique Darbois "Enfants du monde" 1950 > 1969






Paru dans Pour une critique du design graphique, Catherine de Smet

jeudi 23 avril 2015

YUICHI YOKOYAMA





NOAM TORAN - OBJECT FOR LONELY MEN - 2001



Object for Lonely Men tells the story of a man so obsessed with Godard’s Breathless that he designs and builds a tray which reflects the physical language of the film. The tray is made from a single sheet of vacuum formed plastic and has recesses which house the objects that the man interacts with. The objects include a mannequin head which resembles Jean Seberg (the female lead), a gun, hat, telephone, Herald Tribune newspaper, sunglasses, ashtray, steering wheel, rear view mirror and a pack of Gitanes non-filtered cigarettes. The tray serves as an outlet for the man’s desires; it allows him to directly channel the influence of the movie on his fantasies into physical action.
(Noam Toran website)

lundi 20 avril 2015

LA RAYURE COMME PARTI PRIS FORMEL

 
 Logo du Centre Pompidou, Jean Widmer, 1977

Logo d'IBM, Paul Rand, 1956
http://cikeinspiration.blogspot.fr/2015/03/paul-rand-logo-dibm-1956.html



DI SCUILLO, AFFICHE COLLÉE LORS DE «NUIT BLANCHE 2007» ET EXTRAITE DU QUI ? RÉSISTE N°12, N’IMPORTENAWAK, 2008

Daniel Buren

Martin Barré, 1972-73

Donald Judd, Stacks, 1968


Escaliers - 1930 – Alexandre Rodtchenko


JACQUES MAJORELLE, ORIENTALISME


Jacques MAJORELLE 1886 - 1962 
DAKAR, 1953 
Huile sur toile marouflée sur panneau 
Signée " j. majorelle ", située " Dakar " et datée " 53 " en bas à droite 



Jacques MAJORELLE 1886 - 1962 
NU DANS LES JARDINS MAJORELLE 
Gouache sur papier marouflé sur panneau 
Signé " j. majorelle " et situé " Marrakech " en bas à droite 

MURIEL COOPER



« Enfin c’est à Cooper que l’on doit un logo d’une qualité et d’une efficacité visuelles exemplaires : celui, justement, de MIT Press, dessiné en 1963 et toujours utilisé aujourd’hui – sept bandes verticales noires de largeur égale juxtaposées, les deux avant-dernières à l’extrémité droite se prolongeant l’une vers le haut, pour l’ascendante du T, et l’autre vers le bas, pour la descendante du P. On ne déchiffre qu’au second regard les initiales de la maison d’édition dans l’image ainsi formée, d’apparence compacte et géométrique – remarquable témoignage d’économie visuelle dans la conception d’un symbole.


Elle assurera également la direction artistique de MIT Press et réalisa à ce titre de nombreuses et mémorables mises en pages. Elle y associait les principes d’une sobriété fonctionnelle héritée du modernisme européen à des éléments inspirés par le quotidien contemporain. Parmi ses contributions notables à la création éditoriale, la maquette, aérée et soignée, de Learning from Las Vegas de Robert Venturi, Denise Scott-Brown et Stephen Izenour en 1972, The Bauhaus de Hans M. Wingler en 1969. ou encore File Under Architecture d’Herbert Muschamp. »

→ CATHERINE DE SMET CIT. POUR UNE CRITIQUE DU DESIGN GRAPHIQUE

SIAN COOK, LIZ MCQUISTON, TEAL TRIGGS - PUSSY GALORE, 1994

Sian Cook, Liz McQuiston, Teal Triggs (WD+RUC) Pussy Galore, 1994

"une police de signes variés (pictogrammes, mots ou expressions, isolés ou groupés) jouant sur plusieurs niveaux sémantiques et destinés à être accessibles à partir d'un clavier d'ordinateur. Le nom est emprunté à l'héroïne de choc d'un James Bond. L'objectif était d'offrir, avec une forte dose d'ironie, un "outil expérimental" qui permette à chacun de composer ses propres messages en puisant dans un répertoire militant (le projet avait été conçu pour un numéro du magazine typographique Fuse dédié au thème de la propagande)."
Pour une critique du design graphique, Catherine de Smet, 2013







LAUTRÉAMONT, "COMME LA RENCONTRE FORTUITE…", 1869

«beau comme la rétractilité des serres des oiseaux rapaces ; ou encore, comme l’incertitude des mouvements musculaires dans les plaies des parties molles de la région cervicale postérieure ; ou plutôt, comme ce piège à rats perpétuel, toujours retendu par l’animal pris, qui peut prendre seul des rongeurs indéfiniment, et fonctionner même caché sous la paille ; et surtout, comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie !»
« Les Chants de Maldoror », Lautréamont, 1869









MAN RAY, 
L'Énigme d'Isidore Ducasse 
(vrai nom de Lautréamont)
1920

STÉPHANE MALLARMÉ, UN COUP DE DÉS JAMAIS N'ABOLIRA LE HASARD, 1914





Evocation dans Pour une critique du design graphique,
Catherine de Smet, B42, 2013
Analyse en rapport avec la production graphique dans :
Jean-Claude Lebensztejn, "note relative au Coup de dés", 1980



dimanche 12 avril 2015

PETER STAMPFLI







Peter Stämpfli (né le 3 juillet 1937 à Deisswil, Suisse) est un peintre suisse de la mouvance du Pop Art.
Depuis les premières empreintes de pneus des années 1960, la peinture de Peter Stämpfli a évolué vers l'approfondissement du détail jusqu'à l'aboutissement d'une œuvre proche de l'abstraction géométrique. Arrivé au point ultime de cette recherche, l'artiste a trouvé dans les années récentes, avec la sculpture, un champ nouveau pour poursuivre la recherche tracée dans le sillon ouvert quarante ans plus tôt avec l'empreinte d'un pneu.