lundi 30 mars 2015

PAUL RAND - LOGO D'IBM - 1956









Paul Rand est un des plus célèbres graphistes américains, né Peretz Rosenbaum le15 août 1914 à New York et mort le 26 novembre 1996 à Norwalk dans le Connecticut. On lui doit notamment de nombreux logos d'entreprises, mais aussi des affiches et des livres pour enfants.
Son parcours artistique passa à New York par Pratt Institute de 1929 à 1932, Parsons The New School for Design en 1932-1933 et l'Art Students League of New York en 1933-1934.
Il fut le principal promoteur, américain, du « style suisse » couramment nommé style typographique international ou style international, sans pour autant en appliquer tous les codes et les dogmes.

THINK
La célèbre affiche « Eye-Bee-M » de Paul Rand, en forme de rébus, représente des lettres avec des images. Elle fut créée en 1981 pour accompagner la devise d’IBM, THINK. Vous la trouverez, avec d’autres créations IBM, dans la section Memorabilia d’IBM100.

MILTON GLASER - I ♥︎ NY - 1975



MILTON GLASER - I ♥︎ NY - 1975

> il fonde en Push Pin Studio en 1952 avec Seymour Chwast, Raynold Ruffin et Edward Sorel.
> il fonde New York Magazine avec Clay Felker en 1968.
> il fonde WBMG avec Walter Bernard en 1983.

dimanche 29 mars 2015

L'USAGE DES FORMES - SCÉNOGRAPHIE DE ROBERT STADLER - 2015 Palais de Tokyo











L’exposition L’Usage des formes explore l’ingéniosité humaine et la relation passionnée que les créateurs entretiennent avec leurs outils, en abordant l’instrument comme un élément fondamental du rapport de l’homme au monde. Faisant dialoguer artisans d’art et artistes, l’exposition rassemble les métiers d’art, le design, les arts plastiques et l’architecture dans une scénographie conçue par le designer Robert Stadler et réalisée en collaboration avec des artisans d’art.

Le début du parcours invite à plonger dans l’univers de l’atelier. Au sein de cette fabrique, l’outil se donne à voir comme une incarnation de l’Histoire, en ce qu’il correspond fondamentalement à la transmission ou réécriture de la pratique qui lui est associée. L’exposition aborde ensuite la notion de prise en main de l’outil. L’objet technique est l’instrument de cette préhension qui permet de mettre l’homme en contact avec le monde. Telle une prothèse, l’outil est précisément cette extension du corps qui permet à l’homme d’interagir avec son environnement et de passer ainsi de l’état de nature à l’état de culture. Apprendre à manipuler un outil révèle les propriétés cachées de la matière. L’outil, par conséquent, est un objet qui permet d’extraire de l’information, de mesurer et de quantifier le réel et d’opérer des croisements fructueux entre la science, la technologie et l’artisanat. L’exposition se clôt sur la double dimension symbolique - voire magique - et utilitaire de l’outil : à l’instar du compas des Compagnons du Devoir, devenu symbole philosophique de la Franc-maçonnerie, ou encore du dodécaèdre gallo-romain, mystérieux objet de divination, présentés dans cette section. Par leur préciosité ou par le sens dont ils ont été investis, ces objets, à l’origine simples instruments, deviennent de puissants symboles de l’humanité et des vecteurs de contemplation.
- Article France culture

http://www.palaisdetokyo.com/fr/exposition/lusage-des-formes

TAKIS, EXPOSITION CHAMPS MAGNÉTIQUES, 2015, Palais de Tokyo



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Vue de l’exposition « Takis », Palais de Tokyo 2015. Photo : André Morin.

Né à Athènes, installé à Paris dès les années 1950, Takis a choisi d’explorer dans son œuvre l’énergie des champs magnétiques. Dans la proximité de ses contemporains du Nouveau Réalisme, il intègre à sa démarche sculpturale le mouvement, la lumière, la musique, combinés à l’usage des aimants. De la mise en scène des forces magnétiques à son «hommage à Kafka» et les grands bronzes à caractère érotique, l’exposition rassemble une cinquantaine d’œuvres spectaculaires. Il s’agit de la plus vaste monographie de l’œuvre de Takis depuis celle du Jeu de Paume en 1993.

Expérimentateur infatigable, « savant intuitif », Takis n’a cessé de chercher à capter l’énergie cosmique en mariant l’art et la science. Plasticien contemporain d’avant-garde, son œuvre est ancrée dans une tradition sculpturale, allant de la sculpture archaïque grecque et Giacometti aux objets de rebut de la technologie. Fasciné par la « magie scientifique », à l’origine d’inventions (il déposera même des brevets industriels), Takis est aussi un philosophe des sciences s’imprégnant régulièrement des grands ancêtres de la philosophie présocratique, de la médecine d’Hippocrate jusqu’à l’Égypte ancienne.

http://www.palaisdetokyo.com/fr/exposition/takis

PIETER HUGO, EXPOSITION FONDATION HENRI CARTIER BRESSON 2014

Loyiso Mayga, Wandise Ngcama, Lunga White, Luyanda Mzanti and Khungsile Mdolo after their initiation ceremony, Mthatha, 2008 © Pieter Hugo, courtesy Stevenson Gallery, Capetown/Johannesburg and Yossi Milo, New York


Thoba Calvin et Tshepo Cameron Sithole-Modisane, Pretoria, 2013 © Pieter Hugo, courtesy Galerie Stevenson, Le Cap/Johannesburg et Yossi Milo, New York


Green Point Common, Le Cap, 2013 © Pieter Hugo, courtesy Galerie Stevenson, Le Cap/Johannesburg et Yossi Milo, New York

Ann Sallies, ma nourrice, Douglas, 2013 © Pieter Hugo, courtesy Galerie Stevenson, Le Cap/Johannesburg et Yossi Milo, New York


Daniela Beukman, Milnerton, 2013 © Pieter Hugo, courtesy Galerie Stevenson, Le Cap/Johannesburg et Yossi Milo, New York